Monumente Din Franta

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Tănase Alexandru Andrei, clasa a XII-a A Monument en France Arc de triomphe (Montpellier) L'arc de triomphe de Montpellier est un monument érigé en 1691 par Augustin-Charles d'Aviler, architecte de la province du Languedoc, sur des dessins effectués par François II d'Orbay. Cette porte est l'entrée obligée du Peyrou, place royale dédiée à la gloire du roi Louis XIV, bienfaiteur de la ville. Elle s'inspire fortement de celle de Saint-Martin à Paris. Généralités, dimensions La construction de cet édifice coûta 11 850 livres à la ville. Construit sur un des points les plus hauts de la ville à l'altitude de 52 mètres, il donnait accès au Puy d'Arquinel, le lieu « pierreux » appelé Peyrou. Avant sa construction, un pont-levis permettait de franchir un fossé qui délimitait les remparts de la « commune clôture ». Il y aujourd'hui un pont de pierre de 28 mètres de large remplaçant cet ouvrage. Bien que plus petit que la porte Saint-Martin à Paris, il mesure tout de même 15 mètres de haut et 18 mètres de large. Son portique a une ouverture de 4,70 mètres et une hauteur de 7 mètres. Il a fallu pour sa construction l'extraction de plus de 120 m3 de pierres, pour la plupart venant des garrigues, notamment les carrières, des environs de Montpellier et notamment celles de Pignan, Saint-Jean-de- Védas, Pondres ou encore Saint-Géniès des Mourgues. Dédicace Cet arc de triomphe porte l'inscription suivante : « Ludovico magno LXXII annos regnante dissociatis repressis conciliatis gentibus quatuor decennali bello conjuratis pax terra marique parta 1715 », ce qui se traduit par : « Louis le Grand, dont le règne dura soixante-douze ans, a apporté la paix sur terre et sur mer après avoir séparé, contenu et s'être attaché à des peuples alliés dans une guerre de quarante années ». À noter la présence de 4 médaillons allégoriques à la

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Tnase Alexandru Andrei,clasa a XII-a A

Monument en France Arc de triomphe (Montpellier) L'arc de triomphe de Montpellier est un monument rig en 1691 par Augustin-Charles d'Aviler, architecte de la province du Languedoc, sur des dessins effectus par Franois II d'Orbay. Cette porte est l'entre oblige du Peyrou, place royale ddie la gloire du roi Louis XIV, bienfaiteur de la ville. Elle s'inspire fortement de celle de Saint-Martin Paris.Gnralits, dimensions

La construction de cet difice cota 11 850 livres la ville. Construit sur un des points les plus hauts de la ville l'altitude de 52 mtres, il donnait accs au Puy d'Arquinel, le lieu pierreux appel Peyrou. Avant sa construction, un pont-levis permettait de franchir un foss qui dlimitait les remparts de la commune clture . Il y aujourd'hui un pont de pierre de 28 mtres de large remplaant cet ouvrage. Bien que plus petit que la porte Saint-Martin Paris, il mesure tout de mme 15 mtres de haut et 18 mtres de large. Son portique a une ouverture de 4,70 mtres et une hauteur de 7 mtres. Il a fallu pour sa construction l'extraction de plus de 120 m3 de pierres, pour la plupart venant des garrigues, notamment les carrires, des environs de Montpellier et notamment celles de Pignan, Saint-Jean-de-Vdas, Pondres ou encore Saint-Gnis des Mourgues. Ddicace Cet arc de triomphe porte l'inscription suivante : Ludovico magno LXXII annos regnante dissociatis repressis conciliatis gentibus quatuor decennali bello conjuratis pax terra marique parta 1715 , ce qui se traduit par : Louis le Grand, dont le rgne dura soixante-douze ans, a apport la paix sur terre et sur mer aprs avoir spar, contenu et s'tre attach des peuples allis dans une guerre de quarante annes . noter la prsence de 4 mdaillons allgoriques la gloire du Grand Roi dont celui reprsentant la rvocation de l'dit de Nantes (qui avait assur une certaine libert religieuse aux protestants entre 1598 et 1685, puis a t supprim), pisode tragique et trs douloureux tant sur le plan local que national. Palais des Tuileries Le palais des Tuileries est un palais parisien aujourd'hui dtruit dont la construction commena en 1564 sous l'impulsion de Catherine de Mdicis, l'emplacement occup auparavant par l'une des trois fabriques de tuiles tablies en 1372 ct des Quinze-Vingts et devant le Louvre. Agrandi sous les rgnes successifs, il disposait d'une immense faade (266 mtres de long) et devint rsidence royale de nombreux souverains (Henri IV, Louis XIV, Louis XV, Louis XVI ou encore Louis XVIII), et impriale (Napolon Ier puis Napolon III) jusqu' sa destruction lors d'un incendie volontaire1 le 23 mai 1871 par les Communards Jules-Henri-Marius Bergeret, Victor Bnot et Etienne Boudin. Les ruines du Palais des Tuileries furent abattues en 1883. Premires constructions

L'ensemble de ces constructions fut achet par Catherine de Mdicis qui dsirait quitter l'htel des Tournelles o tait mort Henri II. Elle les fit raser et demanda aux architectes Philibert Delorme, puis la mort en 1570 de celui-ci, Jean Bullant, d'y difier un palais qui devait s'lever l'ouest du Louvre, au-del de l'enceinte de Charles V. Le projet d'origine tait ambitieux : deux grands btiments parallles et perpendiculaires la Seine, runis par quatre ailes plus courtes, compartimentant ainsi trois cours intrieures. Mais seul le btiment occidental fut finalement construit, et c'est celui-ci que l'on appela en dfinitive le Palais des Tuileries. Cet difice comportait un pavillon central surmont d'un dme, dot d'un escalier suspendu sur vote qui fut considr comme un chef-d'uvre. Ce pavillon tait encadr de deux ailes. L'aile sud se terminait par un pavillon, appel pavillon de Bullant (construit en 1570) tandis que l'aile nord ne fut pas acheve. En effet, Catherine de Mdicis, trs superstitieuse, refusa finalement d'habiter aux Tuileries et s'installa dans un htel (appel de la reine , puis de Soissons , actuelle Bourse de Commerce) qu'elle fit btir en toute hte en 1574 prs de l'glise Saint-Eustache. La lgende raconte que son astrologue Ruggieri lui avait prdit qu'elle mourrait prs de Saint-Germain et le palais se trouvait proximit de l'glise Saint-Germain-l'Auxerrois. Sous le rgne de Charles IX, le chantier de construction des Tuileries fut progressivement abandonn. Henri III y donna quelques ftes, mais n'y rsida pas ; il s'enfuit cependant de Paris par le jardin des Tuileries, le 12 mai 1588, lors de la journe des barricades. la fin du Second Empire, la disposition intrieure du palais se prsentait de la faon suivante :

On entrait, du ct de la cour, par le vestibule du pavillon de l'Horloge.

Le Grand escalier de Percier et Fontaine menait, au premier tage, au nord vers la salle des Traves et les tribunes de la chapelle, puis la salle de Spectacle et, en retour vers le sud et le pavillon central, la salle des Gardes puis la galerie de la Paix. Celle-ci conduisait au salon des Marchaux, occupant tout l'tage du pavillon de l'Horloge : transversal, il tait lev sur deux tages. De ce salon on passait, ct cour, dans le salon Blanc, puis le salon d'Apollon, la salle du Trne, le salon Louis XIV puis enfin la galerie de Diane, qui conduisait au pavillon de Flore, donnant sur la Seine.

L'aile sud (vers la Seine) tait occupe, au premier tage ct jardin, par les3 appartements de l'Impratrice] (du pavillon de l'Horloge jusqu'au pavillon de Bullant) et les appartements; des secrtaires de l'Empereur. Un petit escalier menait de ces appartements vers le vestibule le rez-de-cour entre les pavillons de l'Horloge et le pavillon de Flore tait affect au service de l'Empereur et du palais (officier d'ordonnance, garde), le rez-de-jardin l'appartement de l'Empereur. Des pices, ct cour, ont t affectes, un temps, au Prince imprial.

Le pavillon de Flore, donnant sur la Seine, tait occup par les appartements du Prince imprial.

L'aile nord (vers la rue de Rivoli) abritait la chapelle dans le pavillon de la Chapelle au premier tage duquel se situaient la galerie des Traves et les tribunes de la chapelle.

L'aile comprise entre ce pavillon et le pavillon de Marsan, l'extrme nord du palais, tait occupe par la salle des Spectacles, borde du ct de la cour par un troit couloir courant jusqu'au pavillon de Marsan.

Le pavillon de Marsan, donnant sur la rue de Rivoli, tait occup par les appartements affects aux chefs d'tat en visite officielle.

droite du Grand Vestibule, il y avait le Grand Escalier qui menait aux appartements dapparat du palais.

En 1868, Hector Lefuel proposa de transformer les faades du palais en crant des galeries de sept mtres de profondeur plaques contre les pavillons intermdiaires, le pavillon central et les ailes attenantes. Cette solution, qui aurait plac tout l'appartement de rception historique en second jour, visait amliorer la circulation dans le palais. Elle se caractrisait par son faible cot relativement aux travaux de reprise de sous-uvre initialement envisag. Cependant, la chute du Second Empire en empcha la ralisation.